VIEUX CHEMINS;

- Vieux chemins ! trés vieux chemins!...

 Déjà, en vieux chemins, on peut considérer les cours d'eau, plus ou moins asséchés en été ,donc secs et empruntables facilement, ou en hiver, gelés, donc empruntables également; Et en général, les cours d'eau descendent,lentement, sauf quand ils chutent brutamement,en cascade...Mais celà s' entend et il suffit de faire le tour de la cascade pour rattraper le cours d' eau plus calme;sauf pour les idiots...tant pis pour eux s'ils chutent et y restent..

  Qui c'est qui a dit qu'il n'y avait pas d'autoroute chez les hommes préhistoriques? il y a 5000,10.000 20;000 OU 50.000 ANS ? / Ruisseau à sec,été 2018,à la Malvirado, route de Villarzel à Caunes-Minervois; attention,le lundi 15 Octobre 2018,il y avait là, nuit et matinée,plus de quatre mètres d'eau boueuse ! c'est,hélas, le Midi; c'est triste, mais c'est quand même " chez moi"....

 -  Vieux chemin de Lagrasse . ( pas le GR   de 34 km par Miramont, etc, " c'est pas là").

   Le vieux chemin de Lagrasse prend " vers les pieds de la Cité"- qui était oppidum il y a, il y a ...longtemps, et il part dans la direction de ...Lagrasse, qui n'était pas encore Lagrasse, mais qui était une bled sur un torrent, l'Orbieu ( où il y avait peut-être de l'or...d'où le nom..)..Le chemin grimpe par Conardis, aprés  Montlegun, passe à l'Ouest du lac de la Cavayère-qui n'existait pas-, monte sur les " plats" les Replats entre Mas des Cours et Monze ( certainement gardés-les champs des Replats- par le chateau et la Tour de Malespine...( idem aux "Deux Alpes", les deux alpages entre Vénosc et la Brugue?); il passe à la Véne, puis descend  sur Monze-petit pont splendide, et solide-solide sur la Bretonne, à sec !; le chemin continue dans la plaine (vallée!), passe à Pradelles; peut aller à Montlaur, au carrefour ; continue par la vallée et arrive à Villemagne; là, on se heurte à la gorge, gorge qui supporte la route, route taillée dans la roche, à la dynamite, sous la IIIeme République, route de la Camarier; le vrai chemin part du Nord-est de Villemagne et court sur le flanc rive gauche du ruisseau qui ira se jeter dans l'Orbieu à Lagrasse, l' Alzou; le chemin court dans la guarrigue puis descend vers le pont d'Alzou, carrefour avec un vieux chemin qui grimpe vers le Nord  vers Montlaur; le pont passé, on arrive sur la rive droite et à flanc de falaise on arrive à Lagrasse; au pont d'Alzou on peut continuer rive gauche et on arrive à Cicéron, puis à la plaine ( vallée !) de Ribaute, Camplong et Fabrezan....Tout cela, dans la guarrigue.

 

   Voie royale de Millau,usitée " avant"...délaissée depuis longtemps pour celle à flanc de causse,plus à l'Est, cette même ex RN "regrattée" constemment, et passant au point de vue "sur Millau,avec gogues écolo à la sciure!"(pratique!). Cette voie royale est la voie romaine-et avant eux !- qui permettait l'accés au plateau du Larzac; au départ, il y a un tout petit chemin-sentier  dans le fond du thalweg situé au Sud du Tarn et de la ville ( thal= vallon,weg= voie! en allemand) Ya pas plus simple,les  Allemands étant rustiques et directs.

   En bas,Milhau-ville;à gauche,ruisseau-thalweg venant du plateau.Le viaduc est sur la gauche.Et la Gaufresenque et ses pôteries, en bas à droite.

   Condatomagus, nom chez les gallo-romains...Condé= affluent, magus= marché...donc marché au confluent ( du Tarn et de la Dourbie, "autoroutes aqueuses")     Condatomagus figure sur la Table de Peutinger; ce devait être le marché local-centralisateur des blés des Causses, qui continuaient leur trajet en barges sur le Tarn, vers ailleurs...

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 Bien avant les Romains....

Abandonnés depuis longtemps , au profit de la route " républicaine" , construite par , ou sous la III eme république - ou sous Napoléon III ! et certainement quand les sous ont commencé à ré-affluer en France, c' est à dire à partir de  Louis-Philippe...1830-1848.

 Wp 003593 " Ah...la belle borne ! que poulido est! : borne de la Route Impériale No 118, de Mazamet à Carcassonne, embranchement vers Brousse, Brousse et Villaret. ( "oui, ça existe")( ya aussi Fajac! et Saint Colomban!...).

Il a fallu construire des routes pour désenclaver tous les petits coins de France, " révolution industrielle" oblige, et ainsi  pratiquer " la chasse au client potentiel" c.à.d , rentrer dans le début de la socièté de consommation ....et la chasse aux électeurs, suffrage universel , ou même , censitaire obligent .  Donc , on a fait des routes plus larges, et à faible pente "pour que les chevaux ne dérapent pas" . Et c ' est ainsi qu ' on a fait toutes les petites départementales et les V.C , les I.C, etc ( vers 1880 , paralléllement - Arthur COMTE dixit- : " on construisait par an jusqu ' à 800 km de voies ferrées en France " - en comptant les chemins de fer départementaux )

 Donc , tous les petits chemins, piètonniers , et muletiers, ou " bourricotiers" , tracés là depuis....peut-être 20.000 ans.ou sentiers de 100.000 ans...,?, tous tout droits, sauf quand çà monte trop , tous en ligne de crête ( " facile : derrière : "on en vient" , à droite , " çà descend" , à gauche " çà descend" , et tout droit , " c' est devant!" ; aucune erreur possible; et puis , " on a les pieds au sec") , ou les trés vieux sentiers-pistes le long des cours d' eaux, tout çà a disparu ; ils ont tous disparus , abandonnés, absorbés ; ils sont encore sur les plans cadastraux : " plans dressés en 1826 " , sous Charles X....( c' est vieux ! c' était le roi portant beau, avec un air anglais, et des favoris blancs, des cheveux " comme Eddy Mitchell", et qui semblait drapé " dans un édredon ...") ( quelle irrévérence !)

 Genre de " carrétous" de chemins ; c ' est une charrette exposée à Cabrespine.....Cabrespine , "mines de fer gauloises" , comme indiqué sur la carte IGN au 1/100.000, ou celle au 1/25.000 ( " édition de 1990 , et qui ne reprend pas la route " qui grimpe" aux batiments du gouffre de Cabrespine, comme s' il n' y avait rien !.....; et qui met voie le chemin " capo mounts" de Villeneuve Minervois ; aïe ! ) Mais cette voie ," spéciale carrétou" , était le vrai chemin entre Cabrespine et Villeneuve, abandonné depuis la création de la route " républicaine". C' est dessus que sont installées les antennes et la ligne EDF locale. C'est avec des " carrétous" semblables que les mines de la Montagne Noire,dont celles de Lastours, pouvaient transporter leur minerai de fer jusqu'au lieu sidérurgique de la Forge, de Montrouch, lieux de réduction du minerai,tranformé en loupes ou massiaux,cinglés au feu pour en sortir des barres de fer, et hauts-lieux de la sidérurgie gallo-romaine; au même titre qu l' Autunois, littérallement " Rhur de l'Antiquité" ...

 Wp 2473modifier  Carretou montagnard,charge max:150-200 kg, un mètre de large,petit cheval, ou mule, ou deux ânes; ça passe partout, les chemins de montagne faisant 1,5 de large, 2 m.

  

 

  Deux chemins , où ce qu ' il en subsiste :

-  le vieux chemin de Lairière à Salagriffe ( qui fut campagne opulente ou hameau riche et grand, quasi " cortis"...) , dans ses yeuses  ;   il a été emprunté par le Maquis....il est rejoint à Salagriffe par le chemin de Lagrasse ( qui vient de Narbonne par le plateau de Lacamp et le col de la Loubière), puis il continue sur Bouisse et Monjoi ( Montjoi : " rien à bouffer" dans le coin , quatre terrains agricoles en pente raide ! de quoi vivaient-ils ? / mais du FER ! / Ils étaient tous mineurs , " de père en fils" , et ils faisaient du fer , ! ou carriers de marbre ( " où est leur bas-fourneau ?")) ( donc " un peu riches", comme ceux du Terménés , de Padern , Montgaillard , etc , les métaux étant trés chers.Le fer devait coûter le prix actuel de l'or,ou presque...Fondre un canon, au 15ele siècle, devait coûter aussi cher que construire un sous-marin.actuellement..)) . Le chemin va à Limoux ( " c' est tout droit !") : un autre allait aussi à Limoux , par Buc : la route  départementale est montée dessus.

-  le vieux chemin du Lauquet , mangé par les champs , les ronces , les yeuses, la route, les inondations, et tout ce qu ' on veut ; il en subsiste une cinquantaine de mètres ,  dressé  sur muret ( costaud), un mètre- un mètre et demi de large ; une grosse borne, un mètre et demi de haut , balise le précipice ver le Lauquet  afin de ne ne pas "atauler din lou rec",....Se trouve sous - en contrebas-  de la D 40 , vers PR 35 , prôche d' un grand ponceau , et à l ' aplomb d' une ligne EDF H.T ( pardon ERdF ! pardon , scusa !).....A préserver.....Il y en  a d' autres , plein la nature , car les gens allaient un peu partout ; pas trés loin, mais remuaient beaucoup..." se visitaient ": " tiens , on a de la visite , ce jour !", et les gens arrivaient avec la lanterne à bougie , le fusil ," au cas-où", les "riches" , avec le révolver Lefaucheux, à brôche , ou un 1822 , ou un Charleville à chien et silex dans la poche ( fin XIXeme) ,et le baluchon".; avant ils avaient l ' épieu, ou le bâton ferré ; (et les Basques ou Béarnais , la makila... ). Dans le même ordre d' idée , fin XIX eme et début XX eme siècle, propos receuillis le 23 Aout 2015 , au col de Sarenne -'(" c' est pas dans les Corbières"-  mais dans les Alpes) , entre l' Alpe d' Huez et la route qui mène à Briançon par la Grave...( " et chose bizarre , fin décembre 2015 , à la Météo-Imformations de 20 hes , que voit-on ? cité à titre de référence quant au peu de neige dans les Alpes ? : le col de Sarenne ! ...) ?..- : " les gens partaient par le chemin, depuis l' infernet , ou de Besse ou Mizoen et allaient à Saint Jean de Maurienne, à la foire, à pied , avec des bêtes ; ils partaient pour trois ou six jours, couchaient dans les cabanes d' alpage , passaient par le col des Prés Nouveaux puis Saint Jean d' Arves, puis , en ville, logeaint chez l ' un ou chez l ' autre, ou dans de trés petits hôtels pas chers ; et puis s' en retournaient ; c ' étaient leurs vacances d ' été ".( " sacrée tirée , sacrée rando : 30 "bornes "aller et 30 km au retour, et çà monte, et çà descend, et si on a festoyé , c ' est dur; mais çà faisait les amitiés- ou les haines-, et çà soudaient les gens en communauté ; aujourd'hui , c' est rien ; le néant )  Nota-vacances, au bas; rien à voir , mais rien, avec les voies romaines , mais à voir avec "les vacances" du XIX eme siècle, ou du XX eme siècle, " pour la mémoire"!.....( " échos de Tournissan, dans les Corbières !....")

  Et il y avait énormément de campagnes , boïres , toutes abandonnées actuellement - ou presque-, économie oblige, exode rural, électricité( ou pas) et Grande Guerre: - - 30 campagnes dans le massif de Crausse-Rabassié - avec un pont " énorme" , à Greffeil , " donnant sur un mur de falaises" ( "pas res") ,( Grande Guerre...à titre d' information : " c' est chez les voisins-cousins, " lous Catalas" , village d' Oreilla : village Mort au champ d' honneur , "M.D.H", car sur 20 mobilisés , 18 ont été tués !) ( Aude : 40.000 soldats  mobilisés , 10.000 tués!).( En mieux, placardé dans la galerie-gauche de l'Hotel des Invalides, Paris,: " Bretagne,aux 250.000 enfants de la Bretagne tués",comme si la Bretagne était le cinquième de la France en superficie, et nombre d'habitants!....A comparer avec l'Ecosse,pour ceux qui connaissent l'Ecosse- et ont les yeux pour!"- :il y a des stéles 14-18....et zéro village!...)

- Cf les petites communautés : voir en Amazonie , dont en Guyane Française - chez les Taki Taki- ou les  Yanomanis , qui sont entre 20.000 et 50.000 individus , établis sur un territoire de 100.000 km 2 , par groupes de 50 membres ; ils vivent de la chasse et de la pèche ( dont , dans les Guyanes , de la pèche dans des eaux polluées par le mercure des orpailleurs clandestins,, les Guyanes regorgeant d' or !....) ; c ' est là les seuls restes sur Terre des sociètés primitives d' il y a un million d' années, qui subsistent encore......

  - Plateau de Lacamp ( " de Lairière "!) : 10 km sur 4 à 6 km : 42 campagnes abandonnées soit l ' équivalent de 250 à 500 habitants; mais , vers 1955-1960 , les gens sont partis ( " en laissant le lit fait ! par endroits!": Barthes et Coume Belle , en 1957....) car ils ne pouvaient exporter économiquement leurs productions de blés ou d' ovins ou bovins - et elles étaient belles , les vaches de Lacamp ! ! - , à cause  de petits chemins...; de plus , ces plateaux dépendent de diverses communes et donc isolés administrativement, ne sont pas des entités communales et juridiques ; " donc , " la mairie d' en bas s' en fout"...et donc, on crève ! Communes " propriétaires" du plateau de Lacamp : Clermont sur Lauquet , Caunette , Lairière ,Vignevieille, Durfort , Caunettes en Val , Mayronnes , Taurize ,Villetritous,et Labastide en Val: la faute en incombait à l ' administration; - mauvais jugements , mauvaises appréciations , mauvaises idées, laxisme..." c' est comme çà qu'on a perdu la guerre !".( commentaires perso , sujet à caution....) Cà n ' est pas  tellement la faute aux communes ! que peut faire tout seul le maire- pauvre viticulteur- de Taurize ? tout seul ? " gacho aquel coun , que vols faïre tout soul soun païs ! quabourt ! ".

  Vers Salagriffe    sur le Lauquet

  A bien y regarder , on constate que la petite voie piétonne et muletiére du Lauquet suit exactement le cours de la rivière , ou du ruisseau ; c ' est que , tout simplement , les cours d' eau étaient les voies d' accés ou de pénétration dans les terres vierges, et ce , sans carte ni boussole , et sans risque de se perdre : quand on monte le cours d' eau , on monte et quand  on suit l ' eau qui coule : "c'est qu' on descend": aucune erreur possible ; et en plus : " il y a de l " eau , du poisson, du bois pour se chauffer ou faire un abri "; et , à force , au lieu de patauger , on fait un sentier sur le bord , puis une piste , puis une route;; c' est comme çà dans le cours du Lauquet , comme sur la RN 9 aux Ajustons-carrefour de Marvejols-Mende-La Canourgue, et partout ailleurs...( pas rapide l ' ex RN 9 , déclassée en D 809, pauvre Nationales " délaissées!"...qui ont vu passer ,sur les tracés de pistes : plein d' hommes pré-historiques,des Celtes , des Romains, des moines,des brigands, des dragons , des Camisards, des soldats de l ' An II, des pioupious, les automitrailleuse allemandes de l ' opération Anton , le Tour de France,...)( Allez mettre le Tour de France sur l ' A 75 !...) (.;heureusement qu ' elle est là)...)

   .....-  Voie "utile" , typiquement pour extraction minière  : c' est la voie qui pourrait partir de Bizanet ( ?), passe au pied de l'oppidum(supposé) du Blanc-Mont ( prés de "l'arête de Montseret-Saint André), passe à Villerouge la Crémade ( qui n ' a pas de fer ),passe par les Palais, ( " ânes ")  coupe tout droit vers Saint-Laurent , traverse le ruisseau de Tournissan, prend "le vieux chemin de Narbonne ", traverse le haut du village,puis par Terre Rouge , Pratz, se partage qui vers " La Grasse", qui vers la vallée haute de l ' Orbieu, Saint Pierre, Monjoie.....

  Voies romaines fantastiques : deux voies , dans l ' OIsans : - voie de l ' Alpe d' HUEZ et voie vers Bourg d' Oisans ; voir site " voies romaines Ardennes" ; la premiére , en tronçons de 4 km , reliant Oz à Mizoen , soit vers Grenoble et Briançon , vallée de la Romanche , afin d' éviter l ' Infernet ,  quasi infranchissable , sauf en empruntant , à pied, son lit ( voie en bas de vallée , passant par la porte de Bons ) ; voie d' extraction de minerai de fer , et d' or;  voie de Rochetaillée, taillée dans " la roche" , en surplomb du lac de Bourg d' Oisans , disparu en septembre 1219, en suite d' un énorme orage en amont ( catastrophe de Grenoble ).

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 "Inclusion" ...." Pour la mémoire" - vacances ....mémoire perso ; le lecteur en fait ce qu 'il en veut, en pleure , en sourit , bondit de joie ou de rage...1947...Village de Tourn.....dans les Corbières , moi étant de ce village, et d' ailleurs aussi, et aussi de trés loin....Aprés la fin des classes  , le père de copains d' école , à Tourn.., sortait la charrette ( celle dans laquelle on met les comportes , pour la vendange) ; il y mettait, " cinc bales de luzerno, un sac  de sibado (d' avoine) , tres cadieros, tres pallaissos, uno taulo, un broc per l ' aïguo, dous ou tres ferats,, dous marmitos, la cafetiére, un barricot de vi, unos coverturos, un sac de patanos, un sac de mounjetos ,un de favos , un cambajou, un paouc de salcissos et boutifaros ; aco acabat, dejus , y abio : la fenno, le gous , e lous maïnaches ( mes copains) ; il attelait lou chabal , de boun mati , et , à 8 km/h , c' est la vitesse d' un cheval , clipo-clop, l' attelage prenait la route ....vers Port la Nouvelle par Theza e Portel e tabé per Ripaud , dejus lous rails del tramway qu'ero pas encouro arrastra " ; là , tout ce monde allait au " coral" , le cortils -vacances communautaires, coral datant de fin 19 eme siècle, un local-chambre-pièce affecté à chaque famille, 18 sous de location, vie " à la cloche" , mer devant , à 100 mètres , fontaine " à bras" (cadabra) au centre du coral , guérite-tinette  légérement un peu plus loin ," avec lou journal"( la Dépèche ou l ' Indépendant ou Midi Libre au choix) , une bonne trentaine - quarantaine de pièces uniques constitutives du dit coral , soit bien 200 personnes adultes et moutards y logeant   ; ces gens passaient un mois et demi de vacances magnifiques terribles-torrides à quatre sous ! Aco installat , lou peire destacabo lou chabal , daïcho la careto darnie , lous bras campat al ciel, et clipo-clop , s' en tornaba a la vigno e al villatge per trabalha uno petito semana ; e s'en tornaba al "coral ", a chabal clipo-clop al fin de la semana per passa dos jornadas avec la fenno e din l ' aïguo......"  . Mieux que les Seychelles, et écologique .Et pas cher. Amen. ( à propos de " cortils ou cortals" , qui désigne une basse cour, -pas celle des gallines- mais une avancée de maison , mot occitan par exellence , issu du roman et latin direct-direct : les premiers Ober-leutnants allemands qui ont traversé la Meuse, de la 2 eme PZ Div - c ' est aussi chez moi- à Donchery , dans les Ardennes ( à 1000 km ; mais avec "des grandes roues", çà ne fait que 960 km ! ?!) un certain 13 Mai 1940, pour " casser la France" - et elle l ' est ! hélas  ( " jamais remontée , ou du moins , pas encouro remontado , cal attendro  un paouc !" )- se nommaient : Von Courbière , et Korthals ! deux descendants de Huguenots chassés par la Révocation de l ' Edit de Nantes , par Louis XIV ; ces "parpaillots" étaient partis de "lous Courbieros",; hélas , on avait chassé beaucoup de bons sujets. "pla e boun trabalhors"..)(" c 'est de l ' Histoire, au " personnel" , ou au jour le jour , la vraie ).....

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